mes textes écrits avec le coeur
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BILLET N°8 ( 2 TEXTES)
- Le 07/03/2010
MON ENFANT
Toi mon petit être d’amour,
Si délicatement bercé contre mon cœur,
Ta vie comme au tout premier jour,
Se révèle à mes yeux par beauté et douceur,
Sentir à la fois ce bonheur immense,
Mélange de fierté tout serrée contre moi,
En ressentir le moindre de tes sens,
Te voir grandir au son de ma voix,
Le monde qui t’entoure t’envie déjà,
Reflétant de mille éclats ta venue éternelle,
Ce sentiment envieux de te prendre dans ses bras,
Et de t’en offrir cet amour paternel,
Je te promets de t’aimer aussi fort,
Que de te partager mon savoir et ma joie,
Tu es mon fils au plus profond de mon corps,
Je t’aime et suis tant fier d’être ton papa !!!
FREDERIC
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2 TEXTES FRED (N°7)
- Le 05/03/2009
PARTIR ,
Si je dois partir un jour,
Mon dernier souhait sera pour toi,
Je te laisserais tout mon amour,
Qui te suivra pas à pas,
La séparation n’est qu’une larme,
Dans un océan de l’oubli,
Et toi, la plus belle de tes armes,
C’est celle de poursuivre ta vie,
Si le destin à préférer par choisir,
Que la route de notre amour se sépare,
Il saura de nouveau nous réunir,
Là-bas à l’abris des regards,
Alors si je suis loin de toi,
Tout là haut dans les cieux,
Saches que je serais toujours là,
Quand tu fermeras les yeux.
FRED
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2 TEXTES FRED (N°6)
- Le 05/03/2009
L’amour perdu,
C’est si loin de tous ces matins blafards,
Que je cherche encore ton regard,
ET le simple souvenir de toi,
Se reflétant au profond de mon émoi,
Je ressens alors au plus fort,
Toute la chaleur émanant de ton corps,
Toujours à l’affût de ce sourire enjôleur,
Qui me rendait si souvent rêveur,
Je me souviens encore de tes caresses,
Entremêlant fougue et tendresse,
L’odeur enivrante de ton parfum,
S’impreignant au creux de mes mains,
J’ai constamment l’impression de te posséder,
Mais pourtant je t’ai perdu, toi la seule que j’aimais,
Mon amour peu à peu s’évapore,
Tel la nuit laissant place à l’aurore,
Toi, belle colombe tu t’es envolée,
Et Je suis resté impuissant pour t’apprivoiser,
Tu as préférée rejoindre d’autres cieux,
Qui, je l’espère seront pour toi plus heureux,
Mais n’oublies jamais que la vie tel une flamme,
Se consume alors tout doucement,
Mais que mon amour restera toujours là belle femme,
Brûlant d’une braise ardente pour longtemps.
FRED
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2 TEXTES FRED (N°5)
- Le 05/03/2009
L’être abandonné,
Seul dans le brouillard de l’oubli,
Ce petit être reste incompris,
Car au-delà d’un monde qui l’emprisonne,
Son âme et son corps l’abandonnent,
Pourquoi ne l’a t’on jamais aimé,
Lui qui ne voulait qu’être pardonné,
Pourquoi juger sa différence,
Lui qui n’espérait qu’un peu de chance,
Tant de questions restant incomprises,
Pour peu de passion semblant insoumise,
Préférant même en finir,
Que de continuer à en souffrir,
Petit à petit la peur l’a rongée,
Fidèle compagnon d’une vie tourmentée,
Non pas par la méfiance d’un rejet permanent,
Mais par celle d’un amour qui jamais ne fut présent,
C’est alors qu’ignoré de tous,
Sentant sa vie se consumer par secousse,
Il décida de quitter cette terre,
Pleurant et baignant dans sa misère,
Pauvre petit être sans valeur,
Que personne ne viendra plus consoler,
Si loin de ce monde où il se meurt,
La mort surgit pour le délivrer
FRED
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2 TEXTES FRED (N°4)
- Le 05/03/2009
Ange éternel,
Tel un chant d’amour si doux,
Mon coeur résonne pour toi,
Jalousant le plus beau des bijoux,
D’une brillance scintillant de mille éclats,
La beauté de ton corps se reflète,
Aux portes du paradis du bonheur,
Toujours aussi rayonnante que parfaite,
Transperçant d’une flèche mon cœur,
Flânant pour l’éternité,
Ensemble le temps nous protègera,
D’une union plus forte que désirée,
Suppliant le ciel de nous tendre ses bras,
Alors au loin, à l’horizon du firmament,
Ce flot d’amour fort et fidèle,
Restera gravé comme le plus beau des sentiments,
Pour te rejoindre à jamais toi mon ange éternel.
FRED
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2 TEXTES FRED (N°3)
- Le 05/03/2009
Passion interdite,
C’est en croisant son regard,
Juste le souffle d’un instant,
Que son cœur l’invite au départ,
D’une passion fougueuse poursuivie par le temps,
Mais croire en l’amour interdit,
Révèle à une personne une terrible vérité,
Celle d’entrevoir que ce bel ange épanouit,
Ne peut lui briser la chaîne des années,
Si la vie tel du sable,
Dissout le charme de l’être que le monde a créé,
C’est en voulant toucher l’impalpable,
Qu’on finit par tendre la main et en ressentir sa beauté,
L’espoir apporte aux autres qui en souffrent,
Une raison leur collant à la peau,
Pouvoir enfin ressortir de ce gouffre,
Que le ciel leur a donné en fardeau,
Alors, si on ne peut cueillir la fleur de l’âge,
Dans un jardin parsemé de doutes,
Il suffit de laisser au temps et au présage,
Le soin de croire en son destin et de continuer sa route.
FRED
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2 TEXTES FRED (N°2)
- Le 05/03/2009
BROUILLARD DE FER
Ma vie est un long brouillard,
Poursuivit par l’enfer,
De nul autre passion dérisoire,
Que d’être privé de lumière,
Je pardonne sans rancœur,
Pour tout le mal que j’ai fait,
Ce sentiment de malheur,
Qui me tourmente à jamais,
Ç’est lorsque surgit l’ombre de la mort,
Que l’on ressent la puissance de la vie,
On s’apitoie sur son sort,
Tout en frémissant d’agonie,
J’ai l’impression de ne plus respirer,
De sentir la peur rongée ce mal de vivre,
Qui m’empêche d’exister,
Renvoyant mon âme à la dérive,
Mon cœur ne cesse de taper,
Au seul bruit de pas venant vers moi,
Ça y est mon heure vient de sonner,
Mourir restera donc le dernier de mes choix.
FRED
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2 TEXTES FRED (N°1)
- Le 04/03/2009
Chagrin d’espoir,
Si tu ne peux pleurer,
Essaie de sourire,
Si tu ne peux aimer,
Arrête de souffrir,
La vie est-elle trop belle,
Pour ne pas que tu en profites,
L’amour est-il trop cruel,
Pour ne pas que tu le mérites,
Ne regarde pas derrière,
Ton avenir est devant toi,
Ne refuse pas ta misère,
Sois plus fort que ça,
Ecoutes ton cœur,
Brûler de milles feux,
C’est par sa chaleur,
Que tout ira mieux,
Si ton passé reste,
Et que ton présent s’enfuit,
Fais simplement renaître,
Ce qui jamais n’a surgit,
Abandonne ton chagrin,
Fais face à ton destin,
Rejette au loin tes doutes,
Afin de continuer ta route,
Si l’amour ne vient toujours pas,
Va vers lui et serres le contre toi,
Voilà tes larmes ont séchées,
Alors souris, la vie va continuer.
FRED